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Herault : Conférence-Débat sur l’abattage à la ferme
14 avril à Saint Pons de Thomières
à partir de 19h Entrée libre.
Salle Quezel Place sous la mairie
Organisé par le STTE 34
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Projection-Débat Quand l’abattoir vient à la ferme
Face aux productions animales, héritées de 150 ans
d’industrialisation de l’élevage, des éleveurs luttent pour se
réapproprier leur métier.
Depuis 8 ans Stéphane abat ses animaux d’élevage à la ferme, en
toute illégalité.
Jocelyne Porcher, sociologue à l’INRA et ancienne éleveuse, apporte
à ce combat des éléments de critique théorique.
En juin 2016, ils ont été auditionnés par la Commission
Parlementaire sur les abattoirs.
Il viendra faire état de son combat.
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Hugues, maraicher condamné pour travaux hydrauliques
Hugues, producteur de légumes en Saône-et-Loire, est condamné pour des travaux hydrauliques réalisés sans autorisation, mais indispensables pour sécuriser son activité.
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l’abattage à la ferme, paru aux inrocks
Face aux dérives des abattoirs français,un collectif regroupant éleveurs, chercheurs et associations de protection animale réclame le droit de faire abattre les bêtes à la ferme.Certains, dans l’illégalité la plus totale, ont déjà franchi le (...)
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Aux éleveurs en lutte contre le puçage électronique des brebis et des chèvres et à leurs complices
Le 17 décembre dernier, la Confédération Paysanne a organisé des actions publiques simultanées contre l’industrialisation de l’agriculture et « l’obligation » d’identification électronique des brebis. Cette journée de mobilisation « nationale » s’est articulée autour de deux actions principales à l’usine de boucles électroniques de Vitré en Bretagne, co-organisé avec le collectif breton « Faut pas pousser », et à l’administration agricole de Privas en Ardèche, ainsi que d’une manifestation moins importante à Cahors dans le Lot.
« Après des années de lutte sur le terrain, la mobilisation a enfin payé ! ». Le cri de victoire, à peine nuancé, de ce syndicat est malhonnête. La communication sur l’Internet et dans les médias suite à cette journée de mobilisation sème la confusion sur la situation exacte de cette lutte en cours et sur ses motifs. Même si elle est menée par des gens déterminés, cette opposition au puçage reste néanmoins trop fragile pour la laisser se faire malmener par les agissements de la Confédération Paysanne.